Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

conseil général hauts de seine - Page 4

  • DERNIERE REUNION PUBLIQUE DE QUARTIER A VANVES (Suite et Fin) : BASSIN, SECURITE ROUTIERE, STATIONNEMENT, PLU…

    Vanves Au Quotidien revient sur cette dernière réunion publique de quartier qui s’est déroulé dans le préau de l’école Larmeroux Mardi dernier. La seconde partie de cette réunion de 2H a été vraiment consacrée à des questions concernant ce quartier des Hauts de Vanves

     

    BASSIN DE RETENTION : Le maire a indiqué que ce bassin avait bien rempli son rôle lors des deux grandes pluies décennales des 12 et 14 Juillet 2010, « car le bassin a joué son rôle de stockage et s’est rempli aux deux tiers. Nous avons pu vérifier en même temps la marge de sécurité et sa capacité de vidange, puisque le temps imparti entre ses deux épisodes pluvieux a été court » a-t-il indiqué en précisant que le bassin est équipé d’un systéme  « qui permet d’affinerla  prévention, avec un systéme d’alarme sur les niveaux d’eaux ». Tout en précisant que « tout cela coûte cher ».

     

    CONSEIL DE QUARTIER : Daniel Barois, président et maire adjoint a indiqué que l’orientation prise par cete instance de concertation est de s’intéresser plus à l’aspect humain que matériel des choses en adhérant au concept de « Voisins Solidaires ».

     

    MUR ANTI BRUIT : Le principe des travaux a été retenu. La Région a débloquée les crédits pour l’étude finale. Il devrait y avoir une phase de concertation, sachant que les foyers concernés seront directement contactés.

     

    AVENUE DE LA PAIX : Une participante a soulevé les problèmes de sécurité dans cette avenue tant des piétons, notamment pour le passage cloutée face au « contrôle-Sécurité » que des cyclistes, notamment à cause de ses camions qui se garent systématiquement sur la piste cyclable chaque matin. « Je demande de sécuriser le carrefour du Clos Montholon depuis longtemps. Il faut un vrai projet complet sur cette voie départementale qui reléve du Conseil Général » a répondu le maire. « Il faudrait mettre un radar, car beaucoup roulent au dessus de 50 km/h » demande un autre participant. « Il faudrait que j’en récupére surtout  un. Mais si on doit en mettre un en priorité, c’est d’abord rue Antoine Fratacci que je l’installerai, puis un second rue Jean Bleuzen, puis avenue de la Paix » a-t-il précisé. « Catherine Margaté a relancé le Conseil Général sur la sécurité du carrefoir du clos Montholon » a alors indiqué Guy Janvier.

     

    RESIDENCE HOTELIERE : « J’ai été étonné par le nombre de résidences de services ? Est-ce que c’est un axe de développement et qu’est-ce que cela peut provoquer ? » a demandé une nouvelle habitante. « Le précédent POS permettait ce genre de projet…qui était attractif sur le plan fiscal et permettait de construire sur une surface plus importante que si cela avait été du logement. Ce qui n’est pas inintéressant car cette formule se situe entre l’hôtel et le logement, mais ces structures n’apportent rien à la commune. Sauf depuis que Vanves est classée zone touristique et que ces établissements versent une taxe de séjour de 1 € par nuit. Comme il y a 500 chambres  ou studios, cela fait 500 € chaque matin de l’année qui tombent dans la caisse communale. Dans le PLU, nous avons exclut ce genre de projet, ce qui ne veut pas dire que l’on n’aura pas d’hôtels » a-t-il indiqué en précisant que le projet de résidence étudiante se fera bien bien à l’angle Diderot/Raymond Marcheron : « J’essaie de  faire signer une convention entre Michelet et cette résidence pour que les étudiants de ce lycée en profitent ».

     

    PLU : « Il ne faut pas s’imaginer où que vous habitiez, cela n’évoluera pas et sera figé, car la ville vie, respire, évolue selon les besoins de la vie  » a prévenu Bernard Gauducheau qui a informé ses interlocuteurs que l’un des secteurs sur lequel il portera son attention après la rue A.Fratacci est l’axe Jean Bleuzen-RaymondMarcheron-Larmeroux, après aboir répondu à une question sur le calendrier du PLU, notamment par un vanvéen qui demandait à partir de quand le PLU s’appliquerait. Après le vote du Conseil Municipal qui devrait intervenir en Juin prochain.  

     

    STATIONNEMENT : Du coup, un participant lui a demandé quelles étaient les orientations de la ville en matière de stationnement ? » - Laurent Lacomére, maire adjoint a fait constater « qu’en faisant payer le stationnement, on libére des place. Et nous pourrons ainsi le faire dans le quartierde la gare de Vanves  et des endroits les plus sensibles. Car c’est une façon de reconquérir notre territoire par rapport aux envahissseurs venuis d’ailleurs garer leurs véhicules ». Ainsi 50% des places de stationnement restent gratuites à Vanves. L’objectif de la ville est de passer totalement au stationnement payant en deux phases. « Nous choisirons les voies qui posent problèmes dans la première phase » a prévenu le maire.

  • VANVES APRES LES RETRAITES, LES CANTONALES EN LIGNE DE MIRE

    Après la séquence de la réforme des retraites dont la contestation s’est répercutée jusqu’à Vanves avec tentative de blocage de l’entrée de Michelet, manifestation de lycéens vanvéens devant le Sénat, voiture brulée devant le LEP Dardenne et arrestation d’un jeune qui n’avait rien d’un lycéen, une réunion du Mouvement Européen sur les Retraites  en Europe la semaine dernière, Vanves a retrouvé un peu de calme à l’occasion des vacances scolaires  et bientôt du week-end de la Toussaint. Beaucoup seront partis de notre commune, notamment parmi nos élus. Notamment, le maire qui sera à Hanoï avec JP Huchon pour la Région dans le cadre d’accords passés entre ses deux régions capitales, après avoir partagé un déjeuner de chantier vendredi avec les ouvriers de l’entreprise de BTP qui a menée et terminée le gros œuvre de Cabourg.  D’ailleurs cette parenthése pour ce dernier trimestre de l’année 2010 sera le bienvenue.

    Occasion de faire le point sur la situation politique à cinq mois des cantonales sachant qu’il y a plusieurs candidats : Deux officiels, Bernard Gauducheau, maire NC et Guy Janvier conseiller général sortant PS.  un candidat potentiel avec le « Monsieur X » de cette élection, qui n’est autre autre que Jean Louis Thoumieux. Il se présente l’étiquette de l’ex-premier ministre Villepin après avoir mené d’autres combats aux marges de la droite depuis maintenant prés de 30 ans. Beaucoup se souviennent de la liste Vanves 2000 en 1983 qui l’avaient lors de la mandature suivante (1989-95) à devenir Maire adjoint chargé de la culture dans l’équipe de Gérard Orillard. Mais voilà le décés de ce dernier le fit disparaître de l’équipe menée par Didier Morin. Enfin, il reste l’inconu avec les Verts sachant que beaucoup de choses dépendent des négociations Europe Ecologie/Verts – PS sur les législatives et que Lucile Schmid est bien décidé à défendre ses nouvelles couleurs en mars prochain.

     

    A 5 MOIS DES CANTONALES : GAUDUCHEAU EN HAUSSE, JANVIER EN PANNE  

     

    La campagne est bien partie pour l’un. Serait elle mal engagée pour l’autre ?  Le candidat centriste, Bernard Gauducheau, qui a reçu l’investiture de l’UMP 92 est déjà en campagne depuis la Rentrée, recevant régulièrement des vanvéens à l’hôtel de ville pour les écouter et échanger. Il a passé la journée de lancement de l’opération « commerce de proximité » début Octobre à visiter les 120 commerçants participant puis les a reçu avec les 21 vanvéens gagnants du concours organisé à cette ocasion, à la mairie, une semaine après. Il devrait de nouveau les réunir le 22 Novembre à la Mairie pour leur parler sécurité dans le cadre de la campagne de sensibilisation lancée au printemps dernier et menée par la Préfecture, la Chambre de Commerce et la Chambre des Métiers des Hauts de Seine.   Il multiplie les occasions de féliciter les vanvéens méritant, de soutenir par de petits mots les vanvéens souffrant ou ayant traversé une épreuve, d’inaugurer les réalisations qui ont bénéficié de subventions du Conseil Général ou régional ou de GPSO comme bientôt la place du Maréchal Lercler ( 6 Novembre à 17H) qui sert de terminus au 58 qui a retrouvé ses mauvaises d’habitudes d’antan en restant en double file rue V.Hugo lorsqu’ils sont de 2 à 3 attendre un nouveau départ, ou la piste d’athlétisme refaite et le nouveau parquet du gymnase André Roche (27 Novembre), sans compter sa participation à  tous les manifestations organisés par les associations…

     

    Et pendant ce temps là, Guy Janvier, conseiller général sortant, multiplie les réunions en interne pour préparer sa campagne et sa réunion « compte rendu mandat de mandat » avec sa directrice de campagne et son équipe…au lieu de développer les contacts avec les vanvéens, les visites de terrain ou d’appartements, ce qui désespérent certains socialistes de la section. Il est bien présent aux manifestations des associations et forces vives vanvéennes, réunions de quartier… mais souvent il part avant la fin. « Aurait il enclencher la machine à perdre ? » se questionnent certains vanvéens de gauche se rappelant les erreurs de la dernière campagne municipale. Pourtant le PS dans l’ensemble du département sent un vent porteur, a tel point qu’il travaille à un programme d’alternance avec les nouveaux candidats et les sortants : « Il s’agit d’un programme de gestion du département pour gérer le département autrement qu’il n’est géré actuellement avec d’autres priorités. Nous partons d’un fait : la gauche était majoritaire au soir des régionales, donc ces électeurs qui ont voté à gauche existent et ils peuvent revoter à gauche aux cantonales. Il fauit donc leur redonnner envie de revoter dans ce sens et de se rassembler derrière des propositions d’une nouvelle ppolitique dans les Hauts de Seine » expliquait voilà peu sa collége Michéle Canet, présidente du groupe PS au Conseil Général.

     

    Et c’est là toute la question pour Guy Janvier  s’il veut sauver son siége face à Bernard Gauducheau car certains, à l’extérieur de notre ville, sont persuadés des chances de ce dernier comme son collégue du Plessis Robinson, secrétaire départemental de l’UMP 92  qui citait Vanves parmi les cantons gagnables dans Première Heure, journal par Fax des Hauts de seine, grâce à « Bernard Gauducheau qui est maintenant bien implanté dans sa ville et devrait l’emporter aisément ». Mais voilà, c’est plutôt parmi les proches militants du PS que certains ont des doutes sur Guy Janvier, d’où peut être cette impression  qu’il donne, d’être en panne.

  • LES RESULTATS DU BETON DEPOLLUANT A VANVES

    Les vanvéens qui ont assisté Mardi dernier au Comité Consultatif Environnement – Développement Durable, ont eu en primeur les résultats de l’expérience réalisée rue Jean bleuzen.

     

    SATISFAISANT MAIS PAS SUFFISANT

     

    Rappelez-vous, c’était durant l’été 2007, la rue Jean Bleuzen était réaménagée par le Conseil Général qui avait proposé à la ville de Vanves de tenter une expérience  : Utiliser un revêtement de la chaussée en béton de ciment collé (BCMC) qui donne un effet de grand dallage et pavés de béton sur le trottoir, sur deux sites de 250 m, l’un avec du TiO2 (entre Insurrection et Ibis), donc du béton dit dépolluant, l’autre sans (entre Ibis et le Métro) pour faire des comparaisons. Et installer deux stations avec des analyseurs à 1,7 m du sol pour recueillir des données grâce à des mesures régulières (toutes les secondes moyennées sur 5 mm puis 1H). Et cela durant 18 mois à 2 ans, car la pollution peut varier d’un mois à l’autre. L’objectif était de déceler le NO2, dioxyde d’azote composant le plus néfaste pour la santé dont les pics sont observés en hiver.

    Cette rue avait été choisi, tout simplement parce qu’il en fallait une en « U » genre canyon, perpendiculaire aux vents dominants, ensoleillée avec une circulation dense qui sont généralement sujettes à de fortes pollutions que le TiO2 peut amortir. Résultats : « En période de fort pic, comme ce fut le cas fin décembre 2007, durant 6 jours, les concentrations horaires en NO2 sur la zone traitée étaient de l’ordre de 100µ par m3, valeur bien inférieure au seuil critique de 200 µg par m3 atteint sur la zone non traitée. Mais voilà, 13 mois plus tard, durant 2 jours consécutifs de pics sans vent, aucun abattement, à cause de l’encrassement des revêtements » ont expliqué les responsables de la voirie du Conseil Général dont Laurent Gignou, son directeur .

    « Ainsi les pics de pollution majeurs et très rares en NO2, tels que ceux observés fin 2007 par vent nul et gradient de température favorable peuvent être réduit de moitié par ce procédé. Lorsque le revêtement est propre, l’objectif initial de réduction des pics est parfaitement respecté » ont-ils ajouté. « Par contre l’encrassement du revêtement défini comme ce qui peut subsister en dépit d’un nettoyage régulier, induit une perte d’efficacité difficile à appréhender car les pîcs sont rares et imprévisibles. C’est pourquoi nous conseillons de procéder à un nettoyage additionnel sous pression, une fois par an, au début de l’automne de façon à restaurer les propriétés phytocatalytiques du revêtement avant la période hivernale qui, statiquement est la plus critique vis-à-vis de la pollution aux oxydes d’azote » ont-ils expliqué en constatant que « la coloration des pavés semble être un handicap à la performance dépolluante »

    Mais voilà, deux enseignements de cette expérimentation de chaussées en béton dépolluant de Vanves sont à tirer : Tout d’abord, elle participe de la volonté forte des acteurs professionnels d’être en capacité de développer des voiries plus « vertes » tout en gardant « les principes de voiries fiables, sûres et intégrées »… « La démonstration est faîte de l’efficacité de la technique. Les domaines de pertinence sont mieux précisés quant aux typologies de rues, leur rapport à la lumière, au vent et à la température ». Ensuite « cette expérimentation appréhendant la qualité de l’air pour le citadin riverain, le cycliste, le piéton prouve aussi que la caractérisation de la fonction dépolluante des différents systèmes techniques sur échantillon en laboratoire ou in situ ne suffit pas pour garantir un résultat ressenti positivement pour les acteurs de l’espace public urbain dont la démarche « La Voirie Pour Tous » nous rappelle la diversité et les exigences » indique t-il en souhaitant d’autres expérimentations de même nature « de manière à consolider le début de doctrine issu de ce premier chantier de béton dépolluant en France ».